Procurer : v.tr. (mot venant du latin procurare, radical cura « soin »).
Le verbe « procurer » a plusieurs acceptions :
Sens moderne et didactique : Procurer une édition, apporter tous ses soins à sa préparation et à sa publication.
2. Sens courant : Faire obtenir à quelqu’un (quelque chose d’utile ou d’agréable) par ses soins (donner, fournir, nantir, pourvoir).
Citation de l’écrivain français Gustave Flaubert (1821-1880) : « Dumouchel leur procura des billets pour une séance de l’Académie ».
Citation de l’écrivain français Honoré de Balzac (1799-1850) : « Une excellente cuisinière que me procura mon oncle ».
Se procurer quelque chose : faire en sorte d’avoir en sa possession, à sa disposition (acquérir, obtenir).
Il me faut plusieurs jours pour me procurer cet argent.
Citation de l’écrivain et poète français Victor Hugo (1802-1885) : « Les efforts de l’homme pour se procurer de la joie sont parfois dignes de l’attention du philosophe ».
Se procurer quelque chose : faire en sorte d’avoir en sa possession, à sa disposition (acquérir, obtenir).
Il me faut plusieurs jours pour me procurer cet argent.
Citation de l’écrivain et poète français Victor Hugo (1802-1885) : « Les efforts de l’homme pour se procurer de la joie sont parfois dignes de l’attention du philosophe ».
3. Sujet chose : Être la cause ou l’occasion de (pour quelqu’un qui en retire l’avantage ou en subit la conséquence) (causer, occasionner).
Son travail lui procure des satisfactions, un bon salaire (offrir).
«Citation de l’écrivain français Anatole France (1844-1824) : Le plaisir que me procurait alors toute chose excessive ».